Cours Oenologie Paris – Orléans

A bas le contenant, vive le contenu !

Trouvailles et retrouvailles
Ici, l’espace est libre, je connais des tas de gourmands, de gros gourmands, presque des professionnels de la gourmandise qui me parlent de : « ce resto très chouette, de cette boulangerie géniale, de ce petit bar à vins, de cette boucherie extraordinaire, de cette excellente crèmerie… »
J’aimerais que vous laissiez des billets de vos découvertes, qui pourront également être des lieux de rendez-vous.

26 réflexions sur “L’eau à la bouche

  1. merlotte dit :

    Le piano à vins, près du port de plaisance à Caen, laisse espérer beaucoup…Malheureusement, le vin au verre provient parfois d’une bouteille ouverte depuis longtemps. La cuisine est bonne, sans que les recettes soient originales ou raffinée. Il vaut vraiment commander une bouteille, pas du vin au verre. les côtes du rhône que j’ai gouté (Croze H et St Jo) étaient très bons.

  2. merlotte dit :

    Pour fêter la naissance du petit Vladia, le dernier né de ma GourouMarielle, je décide de me taper la cloche au Pica Pica, le resto espagnol branché de Caen. l’environnement est satisfaisant, voire mieux, nous somme place Saint Sauveur coté soleil. La sangria est très au dessus de la moyenne, les anchois marinés, bien que peu écologiquement corrects, sonnt très bons. Pas contre il faut reconnaitre que le pain en tranche est infect. Le niveau des conversation est médiocre, mais mon exil dans l’ouest m’a déja fait comprendre qu’il ne faut pas vouloir trouver des gens passionnants en Normandie, mais juste se réjouir quand on en rencontre un…Contrairement aux Auvergnats, ils faut donc qu’il soient nombreux autour de vous, statistiquement, vous trouverez une perle rare.
    Coté mecs ce soir, ça parle fort (foot oblige),mais gesticule pas assez pour être drôle, coté filles : décolorations, mèches et bras ballants. Le merle blanc n’est pas pour ce soir, je replonge le nez dans un Grisham croquignolet « l’engrenage », après avoir fait un clin d’oeil à la statue de Louis 14, le top mec de la place Saint Sauveur ce soir. Il ne bouge pas et ne me donne pas son numéro de portable.
    Le jambon jambon est fumé à point et tranché finfinfin, les petits poulpes en salades fermes et sentant la mer. Il faisait ce soir de juin un peu chaud pour tenter un plat type souquet ou paella.
    Faut que j’y retourne par temps froid.
    Crème catalane très bonne, je crois que la CIA passe un sale moment dans ce roman policier tout s’aggrave pendant le repas, je retourne le finir chez moi à 300 mètres après ce bon diner pas trop cher. Bonne nuit Louis 14, ça doit être fatiguant de dormir debout depuis 5 siècles, passe chez moi quand tu veux.

  3. merlotte dit :

    ah lala, le nouveau Michelin est sorti, la Normandie a fait un grand pas en avant, une deuxième toque au restaurant SA QUA NA à Honfleur. Juste le temps de trouver une personne de bonne volonté qui s’occupera de l’addition, et hop, en voiture! le menu gastronomique, c’est une succession de petites assiettes délicieuses, d’inspiration asiatique, aux parfum multiples, mais qui ne se détruisent pas les uns les autres. Je me souviens (moi, de ce musicien…..) d’un moceau de daurade étuvée deposé sur une huitre, saupoudré de potargue et de brocoli emiétté, d’un potage coco-livèche_coriandre ou se baigne une queue de lotte, d’une poitrine de pigeonneau, crème de lait au café, limes mexicaines et navets émincés etc…J’ai oublié de manger le mascarpone fouétté à la truffe mélanosporum avec croute grillée chataignes_caramel au cacao, because j’aime pas la truffe, mais la farandole des desserts était plus qu’honorable. Le public était varié, avec quelques russes enrichis essayant d’épater leurs femelles de location. On a pu s’amuser notament un monsieur distingué qui s’est fait photographier le nez entre des seins de sa morue (normal, le 1er avril au soir, c’est la fête du poisson) par ses copains narco_puto_trafiquants. Quel super souvenir, ce cliché de Serguei Petit Cercueil reniflant les nibards d’une dame et exhibant le menu à la main. Trop génial la Normandie ! Il y a eu quelques échanges de femelles entre les tables. L’équipe d’acceuil se rejouissait discrètement de retrouver les princes de la poudre et les sultans à leur retour de courchevel. Les consommateurs locaux avaient un peu plus de retenue : moins bruyants mais moins droles. Ah, les étoilés, ça rameutes des sacrés numéros dans les petits ports normands de pacotille…. Un fameux diner quand même.

  4. merlotte dit :

    Les restaurants italiens de Paris proposent le plus souvent des pâtes ou des pizzas, et des spécialités plus ou moins réussies pour un public pressé. Chez Maurizio « da Maurizio », rue de Vaugirard, Paris 15è, on prend son temps pour se régaler. J’ai dégusté un tendre carpaccio de boeuf, aux légumes frais en entrée, puis un excepeptionnel, voire historique risotto aux asperges fraiches et gambas, cuisiné à la demande. En attendant risotto, j’ai bu lentement-pour faire durer-un vin sicilien « Tancrède » un peu cher, mais hommage à la sicile et à Lampedusa oblige, on ne radine pas. Tout cela était bien bon, mais y’avait un crétin qui parlait thème astral et horoscope chinois à la table d’à côté, et qui explquait à tout le monde que c’était tout du vrai depuis des millénaires. Je lui ai dit que j’étais du signe du gambas ascendant carpaccio, il m’a demandé si je me fichait de lui. Bien sûr que non, ce sont mes signes du zodiaque italien, mais il n’y connait rien. Quel est cette étrange manie de vouloir connaitre l’avenir ? Le présent suffit largement dans les bons restaurants, l’avenir proche c’est l’addition, et on n’est pas pressé.

  5. Baronne de Lécluze dit :

    Herbert-Paterne et moi, on est allés, avec une partie de l’argent restant des stoquaupchonnes, fêter au restaurant le malicieux « plan jeunesse » du Gouvernement. Un contrepoids valable à nos pertes récentes : grace aux contrats d’apprentissage, voilà des milliers des petites mains non rémunérées et corvéables à souhait pour nos entreprises fraternelles ! On gagne moins depuis la crise, mais pas de salaires ni d’URSSAF pour nos prochains employés, ça valait bien un petit détour au « Faisan Doré » de Fontenai sur Orne…. Vous n’irez jamais dans cette commune reculée, pas sur que votre GPS la connaisse, mais pour vivre riches et heureux : vivons cachés. C’est un secret de famille depuis 1789. Blinis de blé noir et crème normande, saumon avec du Ruinart blanc de blanc 1996-pour aider la déglutition, suivi de lotte à l’émincé d’artichaut, sandre aux baies rouges pour HP, arrosés d’un Croze-H blanc made in Chapoutier 2003. En dessert, soufflé chaud au Grand Marnier et Financier (tiens donc) pistache-glace au Pimm’s pour mon époux-vantail (ah ah ah je suis euphorique depuis cette histoire de stagiaires-apprentis). La chef-cuisinière est venue nous saluer en finde repas, elle avait l’air fatiguée….Pourquoi ne pas prendre des apprentis en cuisine ?

  6. Baronne de Lécluze dit :

    Herbert-Paterne a revendu ses stoquaupchonnes hier, afin que nous restions bien vu de notre banquier ( et des possibles gauchistes mouchards qui travaillent aux impots). Avec l’argent-qu’on ne peut plus planquer nulle part sauf à l’île Moustique (bien trop éloigné et vulgaire)- on allé dîner à « La tête au loup ». On a débuté par un pavé d’Andouille au cidre en hommage à cette nullasse de Laurence Parisot qui commence à s’aplatir de façon inquiétante devant les pauvres et les communistes. On a arrosé ça au champagne millésimé Billecart Grande Cuvée 1996, car l’expression « pavé » était un peu menaçante et j’avais besoin de réconfort. Peut importent les accord mets-vins quand la révolution approche et qu’on sent l’odeur de la poudre. Le turbot à l’orange et au safran qui a suivi était délicieux, arrosé d’un Saint Véran très expressif et fruité, puis une bonne tarte tatin caramélisée pour moi, et HP a pris une sorte de macaron soufflé maison à la noisette et au beurre salé. Très convenable, cette « tête au loup » à Nonant le Pin. Nous n’avons pas dépensé tout l’argent des stoquaupchonnes, et nous retournerons au restaurant dès demain. Les stoquaupchonnes, c’est si bon quand on les vend sans les avoir achetées. Avec HP, il ne faut pas qu’on hésite à sortir avant le grand soir.

  7. Merlotte dit :

    Une approche scientifique des kebabs de la ville d’Argentan n’a pas encore été menée, mais il faut bien s’y attaquer un jour, et c’est la p’tite Merlotte qui s’y colle.
    Objectif primaire : évaluer la qualité nutritive (score KN) et gustative (score KG) des Kebabs de la grande rue d’Argentan (61), qui s’appelle Jean Jaurès (Kebab1), puis Henri IV (Kebab2), puis de la chaussée (Kebab 3).
    Objectifs secondaires : évaluation du décor et de la propreté, des humains (service et clients), du niveau des conversations, et de l’influence globale du repas sur l’humeur de l’investigatrice principale (selon le questionnaire SF 36 des sociétés de médecine psy américaines, et en l’absence de prise alcoolisée. On postule, comme la plupart des patients, que la bière c’est pas de l’alcool).
    Résultats: On rappelle que le score KG a été établi en 1997 par le Pr Delange et validé par Pr Herry, et comporte 5 items notés sur 3 : qualité de la viande, grillé de la viande, gout trop salé, présence de suffisament de variété de crudités fraiches, qualité du pain y compris le fait qu’il soit chaud. Le score KN a été établi d’abord par Pr Herry en 1997, critiqué actuellement par Pr Delange, un board d’expert doit se reunir. Il évalue 4 items : pas trop gras, proteines, présence d’assez de crudités, radinerie ou non des portions. On n’inclut pas dans les scores les sauces, ni les frites.
    Les résultats sont les suivants :
    Kebab1: KG 12/15, KN: 9/12 soit 21/27
    Kebab 2 : KG 8/15, KN : 4/12 soit 12/27
    Kebab 3 : KG 12/15, KN :11/12 soit 23/27
    On observe qu’aucun des 3 kebab ne rechaffait le pain, et que seul le Kebab 3 proposait de la viande de boeuf.
    Pour ce qui est des objectifs secondaires le kebab 2 était moche et sale, pas les 2 autres. le Kebab 1 est fréquenté par les gens les plus sympatiques, et il est près du cinéma « le Normandy », ce qui influence positivement le niveau des conversations. Le kebab 3 est près de l’orne, on apercoit l’ile centrale, les vitres sont propres. Le kebab 2, c’est un mauvais rêve. Scores SF 36 des Kebabs 1 et 3 satisfaisants, du kebab 2 très bas.
    Discussion: cette évaluation est utile, on a pu identifier un restaurant clairement moins recommandable, mais insuffisante pour plusieurs raisons. Il n’y avait qu’une seule investigatrice, mais elle a utilisé des outils reconnus par la communauté scientifique dans son évaluation (les scores). Elle n’est allé qu’une seule fois manger dans chacun de ces kebabs, et parfois à midi (2 expérimentations), et une fois le soir, ce qui est insuffisant. Elle n’y a pas mangé le week end. L’étude des KG et KN n’a pas été faite en aveugle, ce qui est criticable. D’autres essais devraient être tentés, et d’autres investigateurs doivent se proposer à l’avenir, afin de valider cette évaluation importante pour la World-Cuisine de Basse Normandie.

  8. Lioudmila Gaspatcho dit :

    l’ame slave, j’ai l’ame slave….mes parents étaient français ma mère s’appelait Jeanne et mon père Victor, moi j’m’appelle Igor ! En chantonnant ce tube de Boris Vian, je me rends au Daru, près de l’église russe du même nom, excellent restaurant dit-on, surtout quand ce sont les autres qui vous invitent. C’est le dépaysement, on est dans une petite isba lambrissée, ambiance calfeutrée, peinte en rouge et en noir, kitchissime avec ses candélabres bling bling à pampilles rouges. Très attendue, comme d’habitude, on commande pour fêter ma venue une des cinquantes vodkas du menu. J’ai bien chaud dans l’isba, zdarovié gloups, cette vodka servie dans un verre glacé, coulant d’une carafe sculptée dans un bloc de glace est délicieuse et très légère en alcool. Au menu, farandole de zakouskis, pelminis de sibérie, pommes chaudes au caviar, j’ai si soif que je pourrais m’envoyer un autre vodka sans broncher sur la tête de Petlioura. Je continue cette lecture : Koulibiac, boeuf Stroganoff, diverses assiettes au poissons fumés.
    On commande un Auxey Duresse (blanc comme il se doit vu l’ambiance ) 2003, et une micro vodka pour fêter tout ça.
    Zakouskis délicieux, pirojkis chauds et croustillants, mille et un poissons fumés et taramas, blinis moelleux et tièdes qui se renouvellent sans cesse: c’est pas du lichen de la Toundra qu’on broute ici. Zdaroviégloups envoyez la vodka, par Koltchak! L’Auxey-Duresse est splendide, il sort des caves du Tsar, le Koulibiac est croustillant, beurré, avec sa strate d’ épinards et d’aneth, le saumon est fondant….c’est raffiné, sdaroviégloupsvodka.
    Les « assiettes » ressemblent aux zakouskis, à éviter en plat principal. Le fromage blanc citronné, était divin, plus fouétté qu’un mauvais moujik, plus aérien que la vapeur d’un samovar.
    Sur la tête de Denikine, faut y venir, si on n’a pas l’âme slave avant le repas, on l’a en partant, zdaroviégloups.. J’ai vu personne payer, c’était peut être gratuit…

  9. pourriture noble dit :

    Il pleut, la Loire n’est pas en train de s’asècher, les vignobles vont encore souffrir cette année. Pour oublier cette météo défavorable allons dans de beaux restos, même s’ils sont en province et qu’il faut rouler sur des départementales. A Angers, les snobs branchouilles ne jurent que par le « rouge tendance » (marque franchisée, Dieu est mort, tout est permis), sur le toit du théatre le quai, vue imprenable sur la rivière, les toits d’ardoise et le chateau des plantagenet. Le menu inaugure la fête avec comme substrats un dépliant sous plastique et des schemas aux couleurs hurlantes., des promos (les restes d’hier?), mais aussi des parcours-repas fléchés. Pour les vin, pas de risque de se tromper de route. Un standard de chez Nicolas de chaque continent : un français, un californien, un chinois, un argentin, un australien…..blanc, rouge, rosé, des orphelins sans nom ni année de naissance. Decidant de prendre leur célèbre wok, je vais choisir mes légumes emincés, qu’on va faire cuire devant moi avec 2 sortes de poisson ou 2 sortes de viande (pourquoi 2 ???? 4?????? PI ???) et on me propose des lamelles de gingembre confit dans des grains de sucre et pas de la racine de gingembre fraiche, cent mille fois plus parfumée et puissante. Voilà, j’ai mon amalgame, il cuit il touille, jc’est moi qui ai fait ma recette. Je retourne manger ma mixture devant le magnifique coucher de soleil et un décor sublime. Mes amis n’ont pas voulu essyer le vin chinois, qui aurit peut être remonté le niveau gustatif global, car vraiment une vue pareille méritait mieux. Sinon y avait des tagines ou je sais plus quel risotto (choix restreint). Autour de nous, y avait des grognasses branchées en minijupes avec des cheveux décolorés et les sourcils assortis aux racines, (les même qui mettent des bikinis fluo à Palavas les Flots) et leur habituel fiancé qu’a rien à dire. Les serveurs étaient plutot rigolos. Un bon point-outre la vue splendide : c’est pas très cher, 25 euros par personne. En fait, il faut venir et amener son manger et son boire.

  10. merlotte dit :

    Voici l’hiver, et malgré ce temps ensoleillé, le froid pointe son nez tous les matins. N’oublions donc pas de manger copieusement des aliments riches, nous ne voulons pas avoir l’air malingres face aux bourrasques. Pour se faire, une petite pause au restaurant Moissonnier (près de la fac de Jussieu, Paris 5è) est utile, on mange une excellente cuisine Lyonnaise de très bonne qualité, et en quantité généreuse, et même prodigue. Le poulet aux morilles et au vin jaune, les oeufs en meurette plus ou moins sauce vigneronne, la terrine de queue de boeuf, rien n’est décevant, on finit toujours son assiette. Il faut porter des vetements souples à ceinture élastique, sinon la mauvaise conscience peut poindre et ce serait dommage de gacher une bonne soirée pour des détails idiots.

  11. Entrée gratuite, buvette payante dit :

    Au rayon « plaisirs simples », je signale l’existence à Paris d’une vraie friterie bruxelloise. Dûment labellisée par le syndicat des fritiers belges.
    Les parts sont généreuses et une « petite frite » à 2,90 € peut aisément calmer un affamé.
    Servies en cornet et avec de la mayonnaise, allez, une fois, et ça ne sont pas des carabistouille.
    C’est près du carrefour rue Oberkampf/rue St Maur, dans le 11è, à gauche en venant du métro Parmentier (ça ne s’invente pas !).

  12. Alexia dit :

    L’Usine de Charonne un tout nouveau resto /bar il s’est ouvert au 10 bd de charonne, une terrasse assez sympa, des présentations dans des verrines, un decor d’usine avec des salades de travailleurs, des vins agréables !
    Allez y , les serveurs sont sympa

  13. Filoxera dit :

    Exceptionnel et délicieux, sophistiqué, décor raffiné, pas d’environnement sonore agressif…calme, volupté et délices : chez Silk and Spice, rue Mandar, Paris 2è. Laissez les milles parfums vous envahir, dans le calme qui vous berce, c’est un resto à connaitre. Et pas ruineux. Les serveurs aussi sont calmes, voire un peu simplets, mais ça aussi c’est reposant.

  14. Alexia dit :

    Non, c’est en limite du 20ème mais c’est une adresse dans le 11eme !

  15. syrah1 dit :

    C’est dans le 20 ème : Métro Alexandre Dumas

  16. Alexia dit :

    une valeur sure, une ambiance bistrot, une carte qui se renouvelle au gré du marché et des vins toujours très chouettes, de nombreux petits producteurs mis en valeu, une addition qui ne fait pas mal …allez diner au Sot l’y laisse 70 rue Alexandre dumas !
    bonnes vacances et à la rentrée

  17. Framboise dit :

    Pour les Valeyriens habitant le 9ème, et même pour les autres…. un bon resto de quartier, resto/galerie,cuisine française (lyonnaise en particulier)bon rapport qualité/prix….produits frais, bonne carte de vins !!!!Ambiance sympa : LE PRE CADET, 10, rue Saulnier (M°cadet)!tél.01.48.24.99.64…..Marielle a déjà fait l’essai !
    On peut se recommander de Françoise.

  18. Pourriture Noble dit :

    Par Babur et tous les timurides, boire du vin dans un resto moghol, c’est pointu. Entre la cardamome, le curry, le poivre et la mangue, quel incendie! Mariella, Muse de la Gastronomie, nous avait recommande, dans ce genre de situation , la douceur et la discretion d un cote de Bordogne (rive gauche en descendant la Bordogne, attention rive droite c est que de la piquette qui rend aveugle). Il apaisera ton palais, sans trop secouer ton porte monnaie.

  19. drspoke dit :

    curry, cardamone, coriande, poivre, mangue, piments, salé, sucré, … cuisine MOGOHL !
    Ratn, restaurant indien, 9 rue de la Tremoille dans le 8°.
    Patron, chef de cuisine, francophile et cultivé, il sait tout sur l’art GUPTA du IVième siécle en Inde !
    Allez-y, un des meilleurs indiens de Paris ! 21€ le menu en semaine à midi, une vraie affaire. Le soir, à la carte 50€.
    Mais quel vin avec tout cela ?
    please advise me !

    1. geo44tang dit :

      À propos d’alliance vins et cuisine indienne, un restaurant indien à Angoulême, le Jardin du Kashmir, propose maintenant une carte des vins étudiée par un grand sommelier pour trouver les meilleurs accords avec les plats épicés. C’est super ! ( pour en terminer avec les rosés de Provence insipides )

  20. marygrise dit :

    chez nous,dans la Meuse, pas de bar à vin, rien de « branché »,sympa, bondé…mais les forêts sont profondes et généreuses ; les girolles sortent en abondance (les moustiques aussi)et c’est nous qu’on mangera tout ! na!

  21. Kod dit :

    Pour changer de la cave des martyrs, je vous conseille « la cave du Daron », 140 av. Parmentier dans le 11ème, M° Goncourt. Tout est de qualité à cette adresse : le contenu des bouteilles, l’accueil et les conseils.
    Et si vous ne voulez vous fier ni au hasard, ni au palais d’un autre, profitez du comptoir où vous pourrez déguster au verre les bouteilles proposés à la vente : c’est là la vrai force du lieu.
    pour plus d’infos : http://www.lacavedudaron.com

  22. merlotte dit :

    « Quand le soir venu je reviens du chantier, après mille peines et le corps harassé….. » . Eh bien on ne continue pas comme Gainsbourg dans la chanson, au lieu d’aller picoler chez soi tout seul, on va fêter la convivialité des « Délices d’Aphrodite ». On mange des plats grecs variés, raffinés et généreusement servis arrosés de vins aux mille parfums. Des plantes vertes au plafond, des poutres peintes en bleu méditerrannéen nous transportent sur une terrasse Santorinesque, et tout ça sans avoir a prendre l’avion. « Mes illusions donnent sur la cour…  » oui, mais tant mieux si la cour est dans le 5e arrondissement, l’évasion est aussi à Paris: rue Candole. merlotte, ex-fan des sixties.

  23. merlotte dit :

    Ouh la honte de lire des journeaux gratuits jmen vanterai pas a sa place. La Robe et le Palais, c est tres chouette et delicieux, ca vaut vraiment le coup d y prendre un repas, mais c est difficile de trouver une table. On peut aussi y boire des verres au comptoir, en etant tres bien conseille. Mention speciale pour la piece de thon rouge dans une croute de grains de sesame, et pour le risoto avec chipirons a la ventreche, miam , miam. On peut aussi essayer le simple et hygienique et delicieux Rendez vous de la Marine sur le quai de la Loire mais attention, pas de 2e service, il faut venir tot. J ai soif a force de noicir cet ecran, jvais me rehydrater. A la votre. Merlotte.

  24. drspoke dit :

    ce blog a maintenant des notes à la Gainsbourg, c’est merveilleux, hélas hélices …
    je recommande Bellota-Bellota rue Jean Nicot dans 7° , à deux pas de l’esplanade des invalides où vous pourrez sentir les tilleuls en fleurs en saison (peut-être maintenant ?).
    Bellota-Bellota, c’est un jambon d’espagne, le « meilleur du monde » dit-on. Vous pourrez en déguster plusieurs grands crus, avec des notes de noix, champignons, amandes ….
    Gand choix de vins d’Espagne également …
    Et en quittant les derniers l’autre soir, nous avons obtenu de la patronne qu’elle me fasse déguster un Xeres doux et un Xeres blanc sec, ça vaut le détour (le Xeres, pas la patronne !). Un très grand vin d’Espagne, si qq’un peut m’en dire plus ?

  25. Axel Lindensee dit :

    Bonjour Justement ce matin dans un gratuit j’ai trouvé un petit topo sur « la robe et le palais » petit bristrot à vins sympa près du Châtelet. L’article dit notamment « pour chacune des bouteilles proposées, une fiche peut être consultée. Et les plats sont à la hauteur… » 13 rue des Lavandières-Sainte Opportune PARIS 1er – Tel 01 45 08 07 41

    Dans le même quartier, de l’autre côté du Forum des Halles, 28 rue Montorgueil Tel 01 42 33 36 19
    un « bar à vins » : « Aux Tonneaux des Halles » est aussi très bien pourvu en bonnes bouteilles (vins dits naturels par le patron). Plats super-bons et copieux – fourchette de prix un peu élevée pour déjeuner…

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